CAP
Le compensateur CAP est un dispositif qui égalise, harmonise, les effets géopathogènes nuisibles comme ceux émis par exemple par les failles tectoniques.
Le compensateur CAP est un dispositif qui égalise, harmonise, les effets géopathogènes nuisibles comme ceux émis par exemple par les failles tectoniques. Il est composé de deux tubes à vide en verre (tubes de Geissler) de 25 cm de longueur. L’un de ces tubes contient des substances actives. L’ensemble est protégé par de la laine de verre et est intégré dans un boitier solide de 285X25X45 mm qui est terminé par une plaque de recouvrement formé d’un encastrement de verre dépoli et d’une fenêtre en verre transparente.
Le processus physique est le suivant : Les oscillations du champ de force de la terre de chaque zone perturbatrice incitent les substances actives dans les tubes à avoir leurs propres oscillations. Par l’action des oscillations des particules élémentaires contenues dans les substances actives des tubes, le champ vibratoire d’une zone fortement perturbée est soumis à un nouveau champ vibratoire. L’interférence de ces deux champs vibratoire permet d’atténuer le rayonnement ambiant et de le réguler de telle manière qu’il soit compatible avec les fréquences cellulaires des organismes vivants, humains, animaux ou végétaux. Les longueurs d’ondes du rayonnement du sol d’une zone perturbée deviennent plus courtes, de sorte que comme le rayonnement infrarouge naturel, elles n’influencent plus de manière nocive les organismes vivants.
Les émanations géopathogènes, telles qu’elles peuvent être constatées lors de perturbations de champs de force terrestre, se répercutent, souvent de manière défavorable, sur le bien-être de la population, des animaux, et des végétaux. Ils sont causés par des processus physiques qui ont lieu au niveau de la croûte terrestre. La plupart des gens, sont contraints, par le mode de vie et de travail d’aujourd’hui, à séjourner dans des locaux fermés sans changer de place. Si des lieux de travail et d’habitation sont soumis à l’influence de zones géopathogènes, le potentiel électrique (champ de force) de ces lieux ainsi que l’ionisation de l’air en sont altérés.
Les défenses immunitaires de l’organisme des êtres vivants sont plus ou moins affaiblies par une exposition constante ou prolongée de ces émanations négatives. En fonction de leur constitution biologique, elles s’en trouvent plus ou moins affectées et donc ne peuvent opposer une résistance nécessaire face aux maladies. Par conséquent, la plupart des personnes exposées à ces zones géopathogènes, ressentent une grande fatigue.
Le compensateur CAP est utilisé comme stabilisateur et donc rend inoffensifs ces émanations en corrigeant et en modulant les vibrations pathogènes du sol afin qu’elles soient compatible avec les oscillations naturelles de l’organisme humain. Toutefois, ce compensateur n’est efficace que dans sa zone d’influence.
Le compensateur CAP est donc utilisé dans toutes sortes de bâtiments (maisons, étables, ateliers, etc,). Lorsque l’environnement le permet, le compensateur doit être exactement placé sur la zone perturbée et incorporé dans le sol.
L’effet du compensateur CAP reste constant sauf si l’intégrité des tubes est altérée par négligence ou de manière intentionnelle (chocs, impacts).
Informations complémentaires :
Le compensateur CAP a une portée d'environ 15 m de rayon.
Il faut tout d'abord déterminer l'emplacement exact des zones perturbées du champ de force terrestre, avec un pendule, ou avec n'importe quel autre instrument de radiesthésie (antenne de Lecher, baguettes parallèles,...). Ces zones peuvent être liées à une veine d'eau souterraine, une faille tectonique, un câble électrique souterrain ou tous autres facteurs perturbants similaires.
La largeur de ces zones géopathogènes doit être estimée. Dans le cas d'une faille avec veine d'eau, la direction d'écoulement, l'entrée et la sortie de celle-ci au niveau du bâtiment à harmoniser doit être aussi spécifiées. L'harmonisation dépend du placement sur le point médian et du sens d'écoulement de la zone de faille.
Il y a deux flèches marquées sur le boîtier CAP (bleue et rouge). La pointe de la flèche bleue doit être placée dans le sens aval de l'écoulement et la pointe de la flèche rouge dans le sens amont de l'écoulement.
Avant la mise en place du compensateur, les substances actives contenues dans le tube à vide doivent être uniformément réparties dans le tube par un léger mouvement de va et vient horizontal.
Le compensateur CAP se placera horizontalement, exactement au milieu de la zone de faille, en utilisant un niveau à bulle. Le placement optimal est obtenu lorsque de manière radiesthésique toutes les perturbations ont disparues. Si ce n'est pas le cas, une recherche par déplacement latéral du compensateur doit permettre de déterminer la position adéquate où il n'y a plus de perturbations mesurées. Quand cela est fait, le compensateur CAP ne doit plus être déplacé. L'harmonisation sera perceptible au bout d'environ une demi-heure.
Quelques remarques importantes :
L'assainissement de l'espace du bâtiment la plus appropriée est entrepris de telle sorte que le compensateur CAP est installé avant ou juste à l'entrée de la zone perturbée du bâtiment.
L'eau est considérée comme la perturbation principale lorsqu'elle soumet à son influence un bâtiment ou un terrain.
Par l'harmonisation de la zone géopathogène principale, les autres zones négatives sont elles aussi compensées.
Basé sur des années d'expérience, il a été montré qu'un léger décalage de l'appareil réduit ou annule complètement l'effet compensatoire. C'est pour cela que les compensateur CAP et CAPIAC doivent être installés de la manière la plus pérenne.
La matière plastique à proximité du compensateur CAP et des dispositifs CAPIAC peut réduire l'effet de compensation voir même l'éliminer complètement.
- Largeur
- 28.5 cm
- Profondeur
- 4.5 cm
- Poids
- 400 g
- Matière
- ciment
- Hauteur
- 2.5 cm